Originaire de Winnipeg, au Manitoba, Mark Schaan (Boursier Loran 1997) a déménagé en Ontario pour étudier en science politique à l’Université de Waterloo. Lors de ses études universitaires, il a été président de son collège, chroniqueur et rédacteur adjoint du journal collégial, vice-président de l’association des étudiants et président de l’Ontario Undergraduate Student Alliance.
Un été, il a participé à une collecte de fonds pour le Winnipeg Folk Festival et, un autre été, il était adjoint administratif de Leonard Asper chez CanWest Global. En 2004, Mark a été nommé l’un des « meilleurs et des plus brillants » par le magazine Maclean’s. Boursier Rhodes par la suite, il a étudié à Oxford où il obtint une maîtrise et un doctorat en politique sociale.
De retour au Canada en 2006, Mark intègre la fonction publique fédérale, travaillant d’abord au ministère Emploi et Développement social Canada sur le système de revenu de retraite et ensuite à Industrie Canada, dans le secteur automobile d’abord et l’industrie pharmaceutique par la suite. Mark s’est également impliqué dans le programme fédéral Recrutement de leaders en politiques. Aujourd’hui, il est directeur des opérations, secrétariat de la transformation opérationnelle et du renouvellement au Bureau du Conseil privé.
Du côté communautaire, Mark a été président et directeur de Ten Oaks Project, un organisme à but non lucratif d’Ottawa qui aide les enfants et les jeunes des communautés GLBT. Il siège également au comité de sélection des Boursiers Loran dans la région d’Ottawa et a été mentor d’un Boursier Loran à l’Université d’Ottawa. L’un des donateurs principaux chez les anciens boursiers, Mark a siégé deux ans au conseil d’administration de la fondation après avoir été coordonnateur de l’Association des anciens boursiers Loran pendant deux ans.
« Aujourd’hui, je pense que la fondation est réellement inscrit dans mon ADN, non seulement pour ses valeurs de détermination, d’engagement et de leadership mais également par sa mission qui veut donner des moyens d’agir à une nouvelle génération de leaders et de penseurs qui tiennent à cœur leurs communautés et la planète, explique-t-il. Puisque j’ai vu de mes propres yeux à quel point les occasions offertes par la fondation changent des vies, je ne peux m’empêcher de vouloir y participer. Je redonne avec les outils que j’ai, sachant fort bien que la fondation est réellement la somme de tous nos efforts individuels. »